4ème de couverture
Un deux trois est le premier ouvrage de Rebecca Armstrong.
Un deux trois commence par une liste, lancinante et cruelle, de prénoms au féminin, pour autant de femmes tombées sous le continuum des violences.
Et commencent les récits : tour à tour révolte et résignation, colère et espoir, pour mettre à distance des récits intimes tout en affirmant une nécessité : écouter ce qui est tu(é), honorer ces vies, nous prendre par des fictions qui trouent leur singulière banalité.
Dans cette brèche poétique résonnent des voix, anonymes, sur une nappe souterraine : ce que crie la narratrice, et le secret qu’elle porte.
Une douleur et un chant que chacune et chacun porte alors en soi d’avance, et que la beauté exorcise.
Un devoir pourtant, celui de nommer.
Ailleurs, textes dans des livres en papier
Mais aussi, chez Tiers-Livre éditeur :
- Fluide – P.25 – dans le recueil De l’eau
- Crayon à papier – P.78 à 80 – dans le recueil Dans l’ordre des choses
- Plan fixe – P.32 à 34 – dans le recueil 1 heure de ta vie, 66 fois
Ailleurs, textes dans des revues en ligne
Pour la revue Les villes en voix : Corps pour la série My hot body / C’est elle pour la série Les ensorcelantes / Vide pour la série Ton corps de vertige / Kiev pour la série Il est cinq heure / Chemins du désir pour la série Villes en herbe