Michel Bussi a ça de magique. Ses livres, tu les ouvres et ne les refermes qu’au point final. Aucune alternative possible. C’est la vie. Et la vie avec lui, elle déroule ses méandres, de la Normandie au reste du monde. On sent toujours au fil des pages le géographe qui aime regarder ce que cache ou reflète un paysage et par conséquent ce que cache ou reflète chaque être humain.
« Petite aiguille sur le 8, grande aiguille sur le 7 »
Dans Maman à tort vous courrez après le temps qui passe. Vous vous cacherez sous la couette de Malone. Vous scruterez l’horizon depuis Le Cap de la Hève.
Cet été, je serai en vacances en Corse. J’attends ces heures là pour lire Le temps est assasin.