Shu Lea m’a accueillie chez elle, dans la fraîcheur de son appartement, tandis que la chaleur parisienne d’août étirait l’asphalte. Elle m’a offert du thé, et nous avons parlé de son travail, passé, en cours, à venir. Nous avons parlé écologie. D’art forcément. Et d’art local, collaboratif, qui tente d’alerter aux enjeux du siècle. Passionnant. Passionnante. J’espère que vous apprécierez de la découvrir. L’interview est en anglais… J’ai réenregistré mes questions en français pour que vous ayez un peu de repères. Si vous êtes nombreux à le demander, je veux bien retranscrire le tout à l’écrit. Mais vraiment, il va falloir être TRES nombreux à le demander…
Une partie de cette interview a été diffusée pendant Parking Day, samedi 22 septembre à Rouen. Cette émission sera d’ailleurs bientôt en ligne ici.
C’est aussi Shu Lea qui m’a donné envie de lire La musique du Sang. Et je l’en remercie, je me suis régalée…
Quelques unes de ses oeuvres:
– composting the city / composting the Net
Quelques uns de ses RV: