Que dire de l’énergie en quelques lignes ? (Ce n’est pas une posture stylistique. Je me pose vraiment la question, là maintenant…) Il faut réduire notre consommation d’énergie, viser la sobriété : par des comportements avisés, ça chacun peut le faire. Il faut que l’énergie indispensable soit utilisée avec une efficacité optimale : par exemple, que les bâtiments (tant publics que privés) ne soient plus des passoires. Avez-vous déjà vu une image de thermographie d’un bâtiment en hiver ? C’est impressionnant. Bien souvent, les constructions d’avant 1975 (année de la première règlementation thermique en France) apparaissent en rouge, ce qui signifie que les murs, les fenêtres, la toiture laissent passer une bonne partie de l’énergie sensée chauffer l’intérieur, pour réchauffer le ciel et les étoiles qui n’en demandaient pas tant. Sobriété : ok. Efficacité : ok. Reste les énergies renouvelables : parce que le pétrole, le charbon, ça va bien deux minutes (deux très très très longues minutes je vous l’accorde…). Une belle éolienne sur terre ou en mer, une belle installation solaire, la biomasse, etc. Nous avons de quoi faire. D’ailleurs, l’ADEME (agence pour la maîtrise de l’énergie) l’a démontré dans une étude « Vers un mix électrique 100% renouvelable en 2050 ».
Le Dico du Climat: des idées simples pour découvrir les enjeux climatiques (mais non! Pas « Le Climat pour les nuls », plutôt pour celles et ceux qui découvrent un champ inconnu et qui veulent comprendre sans devenir experts). Régulièrement, une nouvelle lettre se dévoile ici. A retrouver grâce au mot-clé DICO.
[…] vraiment que le mot « moins » n’est pas synonyme de déclin, de recul. Consommer moins d’énergie, développer une économie moins lourde en CO2, organiser les sociétés autour de biens communs, […]
[…] nécessaire à l’usage qui est déclenché, qui sait gérer les flux de productions des énergies renouvelables, un réseau localisé à l’échelle d’une ville, d’un quartier, reliant en […]