Ah le bien-être… Mes pantoufles, mon canapé, les enfants chez les grands-parents… Aaah… Mais je m’égare. Le bien-être. Saviez-vous que la définition de la santé, selon l’Organisation Mondiale de la Santé, c’est « un état de complet bien-être physique, mental et social » ? J’aime beaucoup cette définition parce qu’elle situe la santé au cœur d’un écosystème qui serait celui de l’être humain, dans tout ce qu’il est. Et l’une de ces composantes est désormais la question climatique. Comment assurer le bien-être de tous, dans un environnement incertain ? Alors oui là je vois poindre la question dans votre regard : « mon bien-être à moi, qui s’en soucie ? Hein ? Et moi, et moi, et moi (tralala) ? ». Forcément, je n’ai pas la réponse. Mais en revanche, je peux vous dire que le bien-être, de plus en plus de chercheurs s’y intéressent et proposent de nouvelles façons de mesurer la santé d’une société, d’un territoire. On parle ainsi des indicateurs de bien-être, histoire de tordre le coup au sacro-saint Produit Intérieur Brut. On se penche sur ce qui se passe en matière d’accès à la culture et aux loisirs, l’état de l’environnement, le logement, la conciliation travail/vie privée, … Demain, il faudra de façon inéluctable intégrer à ces indicateurs l’enjeu de l’adaptation au dérèglement climatique…
Si vous voulez, on parle un peu du Bonheur ?
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