Je ne sais pas si nous (les 7 milliards d’êtres humains, dans les 243 pays et territoires qui couvrent la planète et tous les gouvernants qui y président) seront en mesure de stopper le dérèglement climatique mais une chose est sûre, c’est que le XXIème siècle doit à tout le moins être celui de l’adaptation aux changements climatiques. Faut-il faire moins, faut-il faire mieux ? En tout cas, il faut faire autrement. Peut-être moins ET mieux. Manger moins de viande, manger plus local. Consommer moins d’énergies fossiles, comme le pétrole, et mieux tirer parti du soleil, du vent, de l’eau, de la terre. S’adapter en repensant la ville, en la rendant plus intelligente, plus adaptée à des besoins pensés en termes de sobriété, en repensant la mobilité, en repensant les priorités : en se posant des questions existentielles du genre « consommer pour vivre ou vivre pour consommer ? ». Oui, bon ça va hein, ça fait pas de mal les grandes questions. D’ailleurs, ça n’implique pas forcément de grandes réponses. Pourquoi pas plein de petites réponses, comme de petits gestes chaque jour…
Mar
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[…] privée, … Demain, il faudra de façon inéluctable intégrer à ces indicateurs l’enjeu de l’adaptation au dérèglement […]