Cette semaine, je vous invite à me rejoindre dans le salon de Ketty Steward, autrice de science-fiction, poétesse et également Conseillère Principale d’Education (CPE) en région parisienne. C’est l’école qu’elle a choisi pour voyager jusqu’en 2050.
Mais avant d’entrer dans l’école, découvrons son univers d’autrice (2’48). Ketty aime la science-fiction parce qu’elle aime le présent.
« Si je devais dater mes nouvelles de SF, ce serait ces années 2050 »
Avec Ketty, en évoquant ses thèmes de prédilection, nous évoquons l’épisode 41 avec Anne Adam sur le Travail puisque Ketty a participé au recueil Demain Le Travail. Travail, social, école, des enjeux qui se tiennent de près.
2050 : l’école a connu des crises profondes
Ketty décrit le monde de l’éducation et de l’école en 2050 (8’50) : après de profondes crises, une nécessité de refondation, … Ce cheminement vers 2050, s’articule autour d’une étape-clé: le début des années 20.
2021 : réflexion sur les dominations, les relations de pouvoirs dans la société et dans l’école
Après la crise des années 20, c’est le regard des autres pays, les classements de l’OCDE notamment qui ont aidé à changer la donne.
L’école en 2050 : (re)prendre en compte l’élève
Des cours de méditation dans toutes les écoles, un métier d’enseignant totalement changé (15’48), des salles de classes ouvertes, des apprentissages par projets, du sur mesure mais sans négliger le groupe. Voilà un tableau plutôt rassurant!
Et la géographie de l’école : quelle est-elle en 2050 (23’42) ?
2050 : des missions de services publics vraiment valorisées (30’58)
Le regard de Ketty, une pure utopie (32’23) ?
Enfin, je demande à Ketty de formuler un vœu (34’10).
Crédit photo: Mélanie Fazi
Episode enregistré le 4 janvier 2018