Jean-Louis Louvel est un industriel et entrepreneur normand. Son entreprise se nomme PGS. Jean-Louis est aussi acteur de l’innovation avec la NFactory, incubateur, accélérateur et financeur de l’amorçage de jeunes entreprises.
Il a choisi l’Hôtel de Bourgtheroulde pour me recevoir. Il m’explique pourquoi (3’57).
« Le monde va changer encore plus vite »
C’est d’entrepreneuriat dont nous allons parler ensemble (6’03). Jean-Louis relève que les femmes sont de plus en plus nombreuses à créer des entreprises et s’en félicite. Moi aussi !
Nous évoquons aussi le CES de Las Vegas auquel Jean-Louis participait en début d’année. Ce qui l’a marqué, c’est la vitesse…
« L’Open Source, l’accélérateur en puissance »
Pour Jean-Louis, l’innovation en 2050 sera le fruit de partenariats entre des êtres, leurs idées et de grands groupes, bénéficiant de la force de déploiement. Pour lui, les nouvelles technologies sont également porteuses de solution pour réinventer les « vieilles industries ». Nous évoquons Elon Musk (14’48).
« L’intelligence artificielle, ce qui m’inquiète le plus… »
Pour Jean-Louis, la question en 2050 sera aussi de maîtriser, de contrôler le développement de l’intelligence artificielle (18’07). Est-ce que les jeunes générations, la culture du partage peuvent contrer ces risques (20’35)?
Entre inquiétude et utopie, Jean-Louis mise lui sur la bienveillance. Je l’interroge alors sur la place de la culture, des arts dans le monde de l’entreprise pour rester humain bienveillant (22’36). Sa réponse interroge la place du travail dans la société en 2050…
Enfin, je lui demande de formuler un vœu (26’32).
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