Pour cette conversation, je rejoins Adrien Moreau à Paris, dans un lieu choisi par lui pour l’occasion.
Adrien avait envie de me parler du mot végétal. C’est donc logiquement avec ce mot que nous débutons notre discussion.
Et comme le lieu a toujours un sens, dans ces conversations tournées vers le futur, Adrien m’explique pourquoi il a choisi le musée du Quai Branly (3’25).
« Que va-t-on faire du végétal demain ? » Telle est la question qui l’interpelle (5’28). Mais aujourd’hui, quel est notre rapport au végétal ? « Toute personne a un lien affectif au végétal » (10’28). Et à la fois, c’est une relation schizophrène explique-t-il. La preuve, nous semblons avancer vers une société de maîtrise totale du végétal, non ? (13’28). Notre conversation nous amènera dans les champs de l’agriculture urbaine, de la terre, des agriculteurs et des circuits courts. Puis, nous faisons le saut dans le temps et regardons le monde de 2050 (17’23). Adrien propose de « se réapproprier le jardin ». Il nourrit d’ailleurs un rêve pour le Paris de demain (19’45).
« Changer notre rapport à l’innovation et à la recherche »
(21’28)
Adrien interroge, pour prendre le chemin du futur qu’il dessine, les notions de progrès et de modernité. Forcément, nous évoquerons aussi l’agriculture biologique et ses potentialités. Passionnant !
Cette fois-ci, ce n’est pas un objet que je soumets à Adrien mais une expression : « mauvaises herbes » … (24’54). Pour finir, comme chaque invité, Adrien nous livre son vœu (27’51) !
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