Un avion sans elle

C’est la deuxième fois que je me plonge dans l’univers de Michel Bussi, après Mourir en Seine.

J’ai failli commencer Un avion sans elle dans l’avion, vendredi 13 juillet. Finalement, j’ai attendu…

Mais quel plaisir ensuite! Vous savez, ce livre, on en a tous au moins rencontré un dans sa vie, celui qu’on n’arrive pas à refermer le soir. Les heures passent. Un chapitre de plus. Allez, juste un. Puis encore un autre. Promis le dernier. Et il est déjà 3h du matin. Ensuite le lendemain, dès que quelques minutes s’offrent à la douce oisiveté de la lecture, on l’ouvre comme on se jette sur sa gourmandise favorite.

Un avion sans elle, ça m’a fait ça. Le premier de cette année 2012. J’aurais aimé que ce bouquin se développe en plusieurs volumes. En fait, je voudrais que Michel Bussi m’emporte dans une saga, d’anticipation peut-être. 5 tomes, soyons fous!

Bref, j’ai adoré suivre le fil de cette enquête. J’ai adoré grimper sur les flancs du Mont Terrible. J’ai adoré les frites sur le port de Dieppe. J’ai adoré courir les valleuses sous un soleil de plomb. J’ai adoré les heures passées en conjectures dans les bars d’Istambul. J’ai adoré entendre le gravier sous mes pieds, dans le parc de la propriété des Carville.