Cette semaine, retour à Paris à la rencontre d’une femme, Catherine Dauriac. C’est dans un parc que Catherine m’a donné rendez-vous (0’44). Notre conversation va s’intéresse à la mode et peut-être même plus au vêtement (1’09)…
Quel regard Catherine porte-t-elle sur la mode au sens large en 2017 ? (1’53)
» Je vois de la souffrance, environnementale, sociale »
Fast fashion, pour Catherine il s’agit d’un piège, y compris pour les petits budgets. Nous évoquerons même « l’arnaque » du vintage et de multiples solutions pour consommer la mode autrement.
La Fabrique idéale : je demande à Catherine de me parler de cette coopérative étonnante et inspirante (6’35)…
Nous parlons d’économie de la fonctionnalité, de RSE, d’économie symbiotique, c’est bien du futur de nos modèles socio-économiques sur lequel Catherine travaille au sein de l’équipe de la Fabrique Idéale !
« Mettre ensemble les ressources, les savoir-faire, les contraintes » (10’43)
La cocréation pour du sur-mesure pour tous. Voilà une belle ambition, celle qui anime Catherine au quotidien.
Et alors, en 2050, quel monde voit Catherine (13’27) ? Entre réappropriation populaire et forces de résistance, le monde de demain naîtra de tensions et d’écroulement de certains schémas intenables sur le long terme. Et si le mouvement Fashion Revolution (19’19) pouvait être un marqueur de cette transition ?
Who made my clothes ? Une question utile à se poser chaque jour… Justement les créateurs, designers, stylistes dans tout ça (20’16) ? Profitons-en pour se remettre au clair également avec la vague de labellisation « Made in France » ou « Origine France Garantie » (22’02).
Enfin, je demande à Catherine de formuler un vœu (23’42)…
[Cet épisode a été enregistré le 9 juin 2017]